Les pathologies digestives traitées à Paris par le Dr Juan Amaris

En dehors des périodes épidémiques (comme la grippe), l'une des principales raisons de consultation en gastro-entérologie est la douleur abdominale chronique, couramment appelée « mal au ventre ». À Paris, ces douleurs abdominales aiguës conduisent généralement les patients directement aux services d'urgences hospitalières.

Les maladies digestives touchent une grande partie de la population française : environ 19,9 %, soit plus de deux millions de patients chaque année. À Paris comme ailleurs, les maladies du système digestif et du foie sont l'une des principales causes d’hospitalisation, hors urgences.

Le Dr Juan Amaris, gastro-entérologue à Paris, consulte fréquemment pour des symptômes variés tels que dyspepsies, troubles du transit intestinal (notamment constipation ou diarrhée), reflux gastro-œsophagien, rectorragies (présence de sang dans les selles), glaires dans les selles ou mauvaise haleine (halitose).

Suite à une consultation approfondie comprenant interrogatoire médical précis, examen clinique minutieux et parfois examens complémentaires, différentes pathologies peuvent être diagnostiquées :

  • Troubles fonctionnels digestifs : Ils concernent environ 25,9 % des patients et incluent la dyspepsie (5,9 %), le syndrome de l’intestin irritable (14,6 %) et la constipation chronique (5,4 %).

  • Maladies proctologiques : Ces affections représentent 18,3 % des consultations à Paris.

  • Pathologies non tumorales de l’œsophage, de l’estomac et du duodénum : Elles incluent principalement l'ulcère gastroduodénal et le reflux gastro-œsophagien, représentant 17,1 % des consultations.

  • Pathologies tumorales : Concernant 12 % des consultations, réparties entre tumeurs bénignes (7 %) et malignes (5 %).

  • Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) et autres pathologies coliques non tumorales, représentant 10,7 % des cas.

  • Pathologies hépatiques non tumorales, relativement moins fréquentes.

  • Pathologies biliaires et pancréatiques (2,9 %), majoritairement liées à la lithiase biliaire (1,9 %), aux pancréatites chroniques (0,4 %) et autres causes (0,6 %).

  • Pathologies iatrogènes : Ces maladies digestives résultent d’effets secondaires de médicaments affectant le foie ou le tube digestif.

Ainsi, à Paris, les troubles fonctionnels digestifs et la proctologie représentent près de la moitié des consultations effectuées par le Dr Juan Amaris.

Chaque année, environ 60 000 nouveaux cas de cancers digestifs et du foie sont diagnostiqués en France, représentant 25 % des cancers, avec près de 50 000 décès annuels, soit 30 % des décès par cancer. Ces pathologies montrent une forte prédominance masculine, excepté le cancer de la vésicule biliaire. La survie à 5 ans varie selon les cancers : 52 % pour le côlon, 48 % pour le rectum, 7 % pour l’œsophage, 12 % pour l’estomac, 5 % pour le foie, et 8 % pour le pancréas.